Nos rencontres dans les lycées, ainsi que la consultation numérique, ont mis en avant une préoccupation importante pour des lycées respectueux de l’environnement.
Adopter des constructions à faible impact environnemental est particulièrement attendu. Cela passe bien sûr par des choix réalisés dès la conception de lycées neufs ou à l’occasion de rénovations : utiliser des matériaux à faible bilan carbone, avoir recours aux énergies renouvelables, etc.
Mais aussi par la bonne gestion des ressources dans le fonctionnement du lycée : bonnes pratiques pour les économies d’eau et d’énergie, recyclage des déchets.
La thématique des déchets interpelle en particulier les lycéen·ne·s qui pointent tout simplement le manque de poubelles dans les espaces extérieurs, mais surtout l’absence de poubelles pour le recyclage la plupart du temps.
Cette préoccupation rejoint également le souhait d’une réduction de l’impact environnemental de la restauration collective, avec une offre basée sur des produits locaux issus d’une agriculture durable. Mais également en réduisant le gaspillage et en gérant les déchets le mieux possible. Les lycéen·ne·s s’interrogent par exemple sur la possibilité de mettre en place du compostage.
En résumé, le besoin est :
- Les lycéen.ne.s ont besoin de sentir que les choix faits sur le lycée vont dans le sens du respect de l’environnement, et sont prêts à s’y associer et à s’engager sur des projets éco-citoyens au sein de leur lycée.
Occit’avenir - Lycée 2030
un appel à projets pour faire émerger des projets de transition écologique et énergétique sur les lycées d’Occitanie.
Penser des éclairages plus puissants dirigés vers le sol et pas pour éclairer les étoiles, mais ne fonctionnant qu’en présence de mouvements.
Une contribution au débat pendant la consultation numérique
Chaque élève devrait calculer son empreinte carbone et savoir combien d’arbres il/elle doit planter par an pour compenser.
Une contribution au débat pendant la consultation numérique
Dans un monde où la nature se dégrade de jour en jour, il serait bien que les lycéen·ne·s se rendent compte et commencent à agir, il ne s’agit pas que de militer mais de commencer par de petites actions.
Une contribution au débat pendant la consultation numérique