« Le bassin toulousain dispose d’un pôle de talents importants qui nous permet de ne pas être éloignés des clients institutionnels, de bénéficier d’un écosystème spatial et d’avoir une bonne qualité de vie », détaille Philippe Blatt, directeur général d’Astroscale France, qui a bénéficié de l’accompagnement d’Ad’Occ.
La filiale française d’Astroscale entend recruter une dizaine de personnes d’ici la fin de l’année.
« Nous recherchons des profils de jeunes ingénieurs, sortis d’école, qui apporteront leurs connaissances des dernières technologies », explique Philippe Blatt.
B612, centre-ville ? Le lieu précis de l’implantation n’est pas encore défini. « Nous essayons de trouver des locaux qui puissent être extensibles, car nous prévoyons de porter les effectifs à 15 ou 20 salariés d’ici fin 2024 », projette Philippe Blatt. L’objectif de l’entreprise spatiale est de regrouper l’ensemble des collaborateurs au même endroit.
« Nous sommes sur un sujet d’étude. Donc, techniquement, les employés peuvent télétravailler. Mais nous préférons limiter l’usage du télétravail afin qu’un esprit d’équipe se crée », déclare Philippe Batt.
Fondé en 2013, Astroscale est basé à Tokyo (Japon) et emploie 450 salariés à travers le monde.
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