Découvrez les offres d’accompagnement à la transformation sociale et écologique des entreprises

Achats responsables

Un achat responsable se dit d’un achat de biens ou de services auprès d’un fournisseur ou d’un prestataire sélectionné pour minimiser les impacts environnementaux et sociétaux, et favoriser les bonnes pratiques en termes d’éthique et de droits humains.
Ces bonnes pratiques sont décrites dans le référentiel international ISO 20 400. La notion d’achat socialement et écologiquement responsable (ASER) se dit, quant à elle, d’un achat de biens ou de services réalisé spécifiquement auprès d’une entreprise de l’ESS qui poursuit une utilité sociale et/ou respecte l’environnement tout en favorisant le développement économique local.

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Diversité et inclusion

La diversité en entreprise fait référence à une politique tournée vers le recrutement d’une diversité de profils et la mise en œuvre d’actions de prévention des discriminations. Les discriminations peuvent être variées, 25 critères ayant été identifiés par la loi (origine, sexe, mœurs, options politiques, situation de famille, handicap…).

L’inclusion renvoie à la mise en place d’une culture d’entreprise qui permette à chaque personne de s’épanouir. Elle consiste à créer un environnement dans lequel toutes les personnes, quelles que soient leurs différences, se sentent bienvenues et voient leurs compétences reconnues à leur juste valeur.

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Eco-conception

Approche à l’échelle d’un procédé/produit/service
L’éco-conception consiste à intégrer les critères environnementaux dès la phase de conception d’un procédé, produit ou service afin d’en diminuer les impacts tout au long de son cycle de vie, tout en répondant aux besoins et aux fonctionnalités attendues.

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Écologie industrielle et territoriale (EIT)

Approche à l’échelle d’un territoire ou d’une filière
L’EIT vise à optimiser les ressources matérielles ou immatérielles entre plusieurs acteurs économiques sur un même territoire, pour limiter la consommation de ces ressources et tendre vers des circuits de proximité (synergies de substitution : récupération de chaleur, réutilisation des eaux usées, échanges de produits ; synergies de mutualisation : approvisionnements et services communs, partage d’équipements…).

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Économie circulaire

L’économie circulaire désigne un modèle économique dont l’objectif est de produire des biens et des services de manière durable, en limitant la consommation et les gaspillages de ressources ainsi que la production des déchets.
Il s’agit de rompre avec le modèle de l’économie linéaire (extraire, fabriquer, consommer, jeter) pour évoluer vers un modèle « circulaire », en intégrant 7 dimensions clefs : approvisionnement responsable, éco-conception, écologie industrielle et territoriale, économie de la fonctionnalité et de la coopération, consommation responsable, allongement de la durée d’usage, recyclage.

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Économie de la fonctionnalité et de la coopération (EFC)

Approche du modèle économique
L’EFC est un modèle économique qui privilégie l’usage ou la performance d’usage à la vente en volumes de produits ou de services.
Le producteur, restant propriétaire du produit, est incité à le faire durer le plus longtemps possible et propose une offre de services adaptée à l’utilisateur.

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Économie Sociale et Solidaire (ESS)

L’ESS regroupe un ensemble d’organisations qui concilient utilité sociale, performance économique.
Elles respectent 3 principes clefs : une finalité sociétale première inscrite dans leurs statuts, une gouvernance démocratique et une lucrativité encadrée (impliquant notamment un réinvestissement majoritaire des bénéfices au service de leur activité).
L’ESS rassemble les associations, mutuelles, fondations, coopératives ainsi que les sociétés commerciales qui poursuivent une utilité sociale et respectent les principes de l’ESS.

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Empreinte carbone/Bilan Carbone®

L’empreinte carbone est la somme des émissions de gaz à effet de serre (GES) induites par l’activité d’une entreprise, par exemple la production, la vente et l’utilisation d’un produit.
Le Bilan Carbone® est un outil de diagnostic mis au point par l’ADEME. Il permet de comptabiliser et de parvenir à la bonne évaluation des émissions de GES générées, directement ou indirectement, par les activités d’une entreprise et de construire un plan de transition.

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Gouvernance partagée

La gouvernance partagée constitue un mode de gouvernance reposant sur la volonté de privilégier les relations de coopération et de développer l’autonomie des membres, notamment par la répartition des responsabilités. Elle se structure autour des trois principes que sont la transparence, la participation et la collaboration.
Ces principes peuvent se traduire de différentes façons et de manière plus ou moins approfondie selon la sensibilité des organisations.

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Qualité de vie et des conditions de travail (QVCT)

La QVCT désigne une démarche collective menée par une entreprise afin d’améliorer le travail dans le but de développer la santé des personnes au travail et de contribuer à la performance globale de l’organisation.
6 thématiques clefs sont traitées :

• Dialogue professionnel et social,
• Organisation, contenu et réalisation du travail,
• Santé au travail,
• Compétences et parcours professionnels,
• Égalité au travail,
• Projet d’entreprise et management.

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Responsabilité sociétale des entreprises (RSE)

La RSE est définie comme la responsabilité des entreprises vis-à-vis des effets qu’elles exercent sur la société. Il s’agit notamment d’anticiper et d’atténuer les externalités négatives qu’elles peuvent produire.
La norme ISO 26000, standard international, définit le périmètre de la RSE autour de 7 thématiques :

• La gouvernance de l’organisation,
• Les droits de l’homme,
• Les relations et conditions de travail,
• L’environnement,
• La loyauté des pratiques,
• Les questions relatives aux consommateurs,
• Les communautés et le développement local.

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Société à mission

La qualité de « société à mission » est attribuée aux entreprises qui font le choix d’inscrire, dans leurs statuts, leur « raison d’être » délinée en objectifs sociaux et/ou environnementaux.
Elle nécessite la mise en place d’une organisation interne dédiée à la poursuite de cette mission d’intérêt général (référent ou comité de mission) et fait l’objet d’un contrôle par un organisme tiers indépendant.