
Dans l’univers des énergies renouvelables, Elements se destine à occuper une place spécifique : celle de la co-construction des projets avec les territoires et les citoyens.
La spécificité de l’entreprise est « de permettre aux territoires de tirer le meilleur parti des ressources naturelles » expliquent les trois associés, Pierre-Alexandre Cichostepski, Loïc Chazalet et Grégoire Petit.
Dans une démarche participative, les projets sont adaptés aux spécificités locales.
L’objectif est de favoriser la participation des acteurs locaux à la conception et au financement du projet afin qu’ils en deviennent les premiers bénéficiaires.
La startup productrice indépendante d’électricité décarbonée présente sur les trois filières solaire, éolien et hydroélectrique a un objectif de 1 GW en construction et exploitation à horizon 2030.
Pour accompagner la croissance son activité, l’entreprise a annoncé début décembre une levée de fonds de 50 millions d’euros auprès de son actionnaire historique Noria, rejoint par Bpifrance, via son fonds France Investissement Energie Environnement 2 dédié à la transition énergétique et environnementale, sept caisses du Crédit Agricole, OCCTE et Enerfip.
Elements s’est par ailleurs engagée avec ses investisseurs sur trois axes ESG majeurs : réduire les émissions de CO2 dans la production électrique, soutenir l’acceptabilité locale de ses projets et favoriser l’actionnariat salarié.
En 2023, l’entreprise a livré deux parcs photovoltaïques : l’un à Camélas, l’autre à Vias.
Créée à Montpellier, l’entreprise qui emploie désormais 104 collaborateurs compte déjà plusieurs bureaux en France (Montpellier, Paris, Lyon, Nantes, Bordeaux et Guadeloupe) et développe son ancrage régional ainsi que sa présence à l’international en Italie, Finlande et Allemagne où elle opère déjà. Ses effectifs devraient doubler d’ici à 2030.
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